De plus en plus guidé et encadré par des influenceurs à travers le monde, les sources d’inspirations sur ces modèles de fermes ultra diversifiées, en permaculture ou non sont intarissables. Sous divers supports tel que cours en ligne (Neverthinkfarm, Master Class de Jean-Martin Fortier, Urban Farmer de Curtis Stone, Training de Richard Perkins …), formations (Bec Hellouin), Youtube (Urban Farmer), livres (The New Organic Grower – Eliot Coleman, Le jardinier maraîcher – Jean Martin Fortier, Le champ – Marie Claude Lortie, …) représentent une offre conséquente d’accès à l’information.
Pour un néophyte, il faut déjà identifier ses besoins et son projet avant de débroussailler le terrain en vue de sélectionner les bonnes sources d’inspirations. Bien souvent, il est préférable d’orienter sa découverte ou sa formation au travers de livres qui représentent un investissement minimum avant de s’engager sur des programmes de formation plus ambitieux et plus coûteux (entre 1500€ et 3000€). A ce titre, nous déplorons le manque d’influenceurs Français et bien souvent ces sources de modèles de production agricole sont importées d’outre-Atlantique.
La structuration de nos filières agricoles Française au travers des chambres d’agriculture et des groupements de producteurs bio présente un avantage considérable par la présence terrain de techniciens en maraîchage qui sont en mesure d’accompagner des projets d’installation. Techniquement, ils vous accompagneront dans votre projet qui doit rester à votre image.
Certains influenceurs Internationaux font bénéficier à leurs étudiants des avantages financiers chez leurs partenaires au travers de la participation à leurs cours en ligne. Par exemple, la Master Class de Jean Martin Fortier offre aux apprenants des remises sur le matériel Terrateck mais également sur les motoculteurs BCS et le matériel d’irrigation (selon les zones,…). Dans le calcul global du projet et de son investissement, le cout de la formation peut être amorti au travers de remises collectées par les différents fournisseurs de matériel. Il faut toujours étudier un projet dans sa globalité et ne pas s’arrêter sur un premier devis.
Travailler son projet du champ à l’assiette est autant de belles initiatives qui façonnent le monde de la production agricole Française et mondiale autour d’initiatives locales !